Bon, aujourd’hui une recette qui ne casse pas trois pattes à un canard. D’une part parce qu’il s’agit de poisson. Et de maquereau, pour être précise.
UN BON GROS MAQUEREAU OUAIS HAN!!!
D’autre part, parce que c’est une recette très classique, mais au final c’est toujours bon de revenir aux choses simples. Enfin en tout cas c’est ce qu’on nous dit. Perso j’en sais rien.
Il vous faut :
- Des beaux maquereaux frais et pas trop gros, là il y en a 5 mais je trouverais ça plus logique de les faire par 6
- Une bouteille de vin blanc sec
- Un verre de vinaigre
- Une carotte
- Un oignon
- Des grains de poivre
- 2 clous de girofle
- Des feuilles de laurier
- Un citron
- Du persil plat
- Une cuillère de gros sel
D’abord vous videz les maquereaux (comme expliqué par Froth pour les sardines) et vous les essuyez bien avec du papier absorbant. Placez-les dans un plat à four. Profitez-en pour préchauffer le four à 180°, tant que vous y pensez.
Mettez dans une casserole le vin, le vinaigre, la carotte épluchée et coupée en rondelles, l’oignon en rondelles également, le poivre, les clous de girofle, le laurier et le gros sel. A peu près tous les ingrédients, en fait. Vous portez à ébullition et quand c’est brûlant vous le versez sur les maquereaux en hurlant « Montjoie Saint Denis ! »
Ensuite, calmez-vous et enfournez 10 min.
Typiquement, cette photo ne respecte pas du tout la chronologie de la recette telle que je l’explique.
Mettez le citron coupé en tranches dessus, j’y ai mis du persil également. Filmez le plat et mettez au frais pendant 24 à 48h. Voilà, ça se déguste volontiers avec du pain et du beurre (faites-le maison pour vous la péter).
Recette alternative :
- Achetez une boite de maquereaux
- Foutez-y du vin blanc
Le saviez-vous ?
Le maquereau est un poisson qui a le bon goût d’aider le corps à lutter contre Alzheimer grâce à une forte teneur en phosphatidylsérine.
YOLOOOOOO
Par ailleurs, c’est un poisson réputé pour aider à déboucher les artères (parce que c’est “du bon gras”).
Vue la quantité de vin blanc dans la recette, on peut donc espérer que ce plat soit à somme nulle en termes de bénéfices pour votre organisme.
J’aime bien, ça donne presque envie de cuisiner. Remarque, lire les recettes en buvant un café ou du vin suffit aussi, c’est comme regarder des tutos coiffure qu’on fera jamais, y a un côté grisant de champ des possibles.
Miam, je l’ai mangé ce midi, ça m’a rappelé les maquereaux de la mère, petite; mais elle, je crois qu’elle les laissait mariner deux jours au milieu de la table de la cuisine avant de les faire cuire. Les p’tits maquereaux marseillais ont été bien appréciés en tous cas. “Meilleure que les boites”. Ah ouais? sans blague?
Des bises du grand Sud!
C’est un cercle infini de cuisine, car ce sont les maquereaux au vin blanc de ta maman qui m’en ont donné le goût 🙂
Preneuse de tous ses conseils pour améliorer ma recette, donc, car les siens sont les meilleurs. Du monde.
Merci c’était sympa de respecter mes membres postérieurs.
Sinon bravo.
Bisous